Les surdoués par l’exemple (10) – Charles (… et Algernon)

Un grand classique de la science fiction « Des fleurs pour Algernon » paru en 1966.

Charles souffre d’un retard mental. Il accepte de participer à une expérience qui le rendra intelligent. Et effectivement, l’expérience pour laquelle il sert de cobaye réussit au delà de toute espérance.
Au fil du film on voit son intelligence se déployer, et avec elle sa sensibilité, ses ressentis et les comportements qui en découlent.
… Mais, finit par résumer Charles, « L’intelligence est l’un des plus grands dons humains. Mais trop souvent, la recherche du savoir chasse la recherche de l’amour. C’est encore une chose que j’ai découverte pour moi-même récemment. Je vous l’offre sous forme d’hypothèse : l’intelligence sans la capacité de donner et de recevoir une affection mène à l’écroulement mental et moral, à la névrose et peut-être même à la psychose. Et je dis que l’esprit humain qui n’a d’autre fin qu’un intérêt et une absorption égoïste en lui-même, à l’exclusion de toute relation humaine, ne peut qu’aboutir à la violence et à la douleur».

Avec cette interrogation : «Je me demande ce qui est le pire: ne pas savoir qui l’on est et être heureux, ou devenir qui l’on a toujours voulu être et se sentir seul».

Même si, comme d’habitude, rien ne vaut la lecture du livre original, en voici deux adaptations cinéma qui m’ont paru intéressantes

Une version française de 2013

La toute première adaptation de 1968 en version originale non sous-titrée

Attention : ça secoue un peu….

PS Le héros annonce qu’il a 190 de QI – il faut l’entendre sur l’échelle de Catell – Celle de Wechsler est plafonnée à 160
Ici, un petit logiciel de conversion bien pratique

19 thoughts on “Les surdoués par l’exemple (10) – Charles (… et Algernon)

  1. dur , ce film que je ne connaissais pas , surtout que j’ai un frère handicapé mental ! j’ai traîné ce sentiment d’infériorité toute ma scolarité…ça a sûrement aidé à développer la compassion (pas toujours un atout dans ce monde ) on fait avec ! 8 enfants(sans doute quelque part jouer à la roulette russe) ; tous surdoués ; un vrai bazar ! surtout quand ils sont testés lorsque l’aînée a 17 ans et que tu ne les voyais que « normaux ». ça aide à comprendre à postériori l’animosité ambiante…. 10 petits enfants et une réflexion d’un gendre à propos de sa fille : « j’aimerais qu’elle soit plus con et moins chiante  » On est mal barrés !!! courage à tous ,amicalement.

  2. ça alors, ce blog est toujours actif ! ça fait plaisir à voir. 🙂
    Je constate que j’ai manqué beaucoup d’articles intéressants depuis mon dernier passage ici. Je devrais prendre le temps de les lire, parce que j’ai un peu trop tendance à vivre dans la négation totale de mes particularités…

    1. Hello Svad ! 🙂 Contente de ton retour.
      Beaucoup d’articles, je ne sais pas. J’ai beaucoup de mal côté concentration (et la rédaction d’un billet en demande).
      Bonne lecture.. et surtout j’espère un cheminement vers l’apaisement 🙂

  3. Bonjour Pouic (allo Docteur Freud? pourquoi Pouic? c’est rigolo, quand même, comme pseudo!)

    Pour répondre à ta question (pfff, encore un toc : dès que je vois une question, je cherche des réponses…..)
    De loin, à tout choisir, sans hésitation, de façon certaine et absolue, je préfère avoir ma vie entre les mains. Je vais où je veux, je fais ce que je veux, si je me trompe, j’apprends, et je recommence, je ne m’en prends qu’à moi. Si je sens que j’ai peur, que je n’ose pas, alors je prends sur moi, c’est en plongeant qu’on apprend à nager. Et puis ce n’est pas grave de couler, ce qui compte c’est à quelle vitesse tu refais surface! J’ai essayé, ça marche. je coule encore, mais ça dure moins de temps qu’il n’en faut pour le dire! alors qu’auparavant, ça durait…comme chez tout le monde : trop longtemps!

    Je suis responsable de mes malheurs, et donc forcément de mes bonheurs. Sinon, j’aurais l’affreuse sensation que mes bonheurs dépendent des autres, et là, franchement, je ne leur fais pas confiance une seconde! Déjà qu’ils n’ont aucun contrôle sur leur propre vie, alors tu imagines si je leur laisse du pouvoir sur la mienne!

    Je commence à sortir un peu plus fréquemment de ma grotte. Je ne dirais pas que j’ai confiance en moi, mais j’ai repris confiance en ma capacité à contrôler certaines situations qui me perturbaient beaucoup, et je sais aussi me ressourcer. L’animal blessé à l’intérieur de moi va chercher des forces à la source, panse ses blessures, puis repart de plus belle. J’ai l’étrange sensation d’en ressortir plus solide à chaque fois, comme si un « apprentissage » se faisait.

    L’agressivité me déstabilise, dès que quelqu’un dit quelque chose de façon ironique, sarcastique, ou agressive, je suis totalement perdue, incapable de répondre, aucune répartie. Mais maintenant je sais cacher cette émotion le temps nécessaire à m’éloigner. Mon coeur tape, j’ai froid dedans, je me sens comme « vidée de mon sang », mais j’arrive, ô miracle, à dire un truc calmement et à partir. Là, je pleure, je « coule », donc tu vois je ne suis pas « guérie », mais je sais gérer, et ça, c’est mieux que rien.

    Personne ne prendra le contrôle de ma vie, personne ne me fera sentir mal assez longrtemps pour « abimer » ma vie. maintenant, une « agression verbale » est comme si je me cogne quelque part : ça fait mal, ça ne dure pas, ce n’est plus très grave.

    Illusion, tu ne me sers à rien…..je veux la vérité, pour BATIR autre chose que des châteaux de sable.

    Pouic, voilà, j’ai aussi squatté le blog, tant pis!

    1. Pouic: que dalle, rien, pas grand chose, que pouic, que couic, dixit le dictionnaire. Moi, a la base, c’est l’image d’un petit poussin, un peu etranglé, qui m’est venu, avec ce son derisoire qui sortirait de sa gorge , un petit rien posé sur ces pages.
      Etre rien est pour moi la seule façon d’etre vraiment, un peu comme ces gens qui se trouvent au beau milieu du desert, qui decouvrent qui ils sont vraiment, lacher prise sur tout…. Mais a moins de retourner sur sa planete comme le petit prince, il faut ensuite que cela serve a quelque chose, a d’autres, et c’est bien la que se situe mon probleme. Je ne sais pas quoi faire avec tout ça, un peu l’impression d’avoir ete trop loin , en tout cas de n’etre plus en adequation avec ma vie actuelle ( je ne l’etais pas avant, non plus, c’est bien pour ça que je souffrais le martyre, mais j’essayais de me changer a l’epoque, pensant que j’avais de gros problemes….. C’est plus doux aujourd’hui- je fais avec ce que je suis, je m’accepte- mais j’aimerai pouvoir partager plus).

      Pour l’agressivité, idem, et lorsque moi-meme je le suis ( coup de nerf sur un moment de fatigue), je me morfond a l’idée d’avoir pu blesser l’autre. Pour l’ironie et le sarcasme, je me demande encore comment font certain pour manier ça a tour de bras, ça doit etre verdun dans leur tete et dans leur coeur!!

      Diriger sa vie, hum oui, ça donne envie, je dois etre un peu trop contemplative pour ça. Etre de ce monde , mais sur un strapontin, toujours un peu a coté….

      Pour freud, c’etait une sorte de boutade, ça m’enerve toujours un peu ces explications « evidentes », quand on creuse un peu une situation, il y a tellement de parametres qui rentrent en compte, que je trouve ça simpliste de ne donner qu’un fil possible pour essayer de comprendre.

      Lost in time, un plaisir de te lire ici, comme si a chaque fois tes posts entrouvraient la porte de ce blog sur un monde un peu sauvage, retiré…

      1. Merci Pouic.
        Les gens qui pensent linéairement ont tendance, ne peuvent faire autrement je pense, à faire des analyses simple, d cause à effet. Personnellement je pense toujours multifacteurs, n’envisageant pas qu’un effet puisse être l’effet d’une seule cause, inversant aussi parfois la cause et l’effet.
        Les explications « évidentes » n’existent que parce que c’est facile, ça rassure.
        Tu as un peu raison, après avoir essayé vainement une adaptation pendant des années, et me sentir de plus en plus mal, j’ai sans vraiment le décider, fini par me retirer plus ou moins du monde. Mon erreur fut de construire une entreprise qui a grandi et nécessite que je travaille avec plusieurs personnes, qui pensent que je suis épouvantable. (évidemment).

        Je suis actuellement en grande difficulté relationnelle dans mon couple, aprce que je ne supporte pas que quelqu’un vienne me dire ce que je dois faire, ou comment le faire, ou me reproche de commencer des choses et de changer de cap après 6 mois. Mais ça, c’est mon fonctionnement, quand je vois les limites de là où je me suis engagée, je change évidemment de direction pour aller vers un ailleurs où je ne vois pas encore les limites.

        J’ai eu beaucoup de chance, plus jeune, un patron m’a dit « je t’embauche parce que tu vois les failles d’un systèmes au bout de 3 mois, alors que d’autres ont besoin de faire des études, des audit, et ça leur prend 5 ou 10 ans pour finalement ne pas être pertinents ».

        Du coup j’ai appris ça sur moi assez jeune. Cela ne le rend pas supportable pour autant par ceux qui travaillent avec moi. Eux s’impliquent dans le projet, ont du mal à se mettre en route, font des efforts, et paf, je change de direction, ça les fatigue, les démotive, ils ont l’impression d’aller nulle part, alors que moi je sais qu’on avance bien!

        Si tu as une idée comment leur faire comprendre, je suis vraiment à l’écoute. Parce que cela a tout à voir avec « se faire aimer », quand notre façon de fonctionner énerve autant les autres…..

        Tu vois, même dans mon coin de paradis, je dois gérer les relations, et ça m’use, je dois le dire. Qu’est ce qu’il y a de grave à changer de cap? Ils ont l’impression de n’avoir jamais leur mot à dire (c’est vrai, je l’avoue), mais c’est MON entreprise, bon sang! alors ça aussi, ils ont du mal, ils veulent des responsabilités. Ok, mais je veux avoir mon mot à dire, sinon on va dans le mur, on fait des dépenses inutiles, où pire, horreur, on fait « comme les autres entreprises « du même secteur, et on va être aussi nul qu’eux!

        Heeeelp!!!!
        😉

        1. Hou la! Je vais avoir du mal a te venir en aide, je pense…

          Pour ton equipe, expliquer ton malaise, mettre sur la table ta façon de faire ( que tu vas avoir du mal a changer, ou pas longtemps, on ne peut pas faire semblant), leurs souhaits, et ensuite essayer de trouver une solution a mi-chemin entre eux et toi…. Dis rien, je te vois d’ici te tordre de douleur!

          Sinon, tu peux aussi tous les virer ( mechant pouic! hahaha!) , et embaucher des qui obéissent sans moufter!

          Et sans blaguer, leur dire clairement qu’il est indispensable d’etre hyper-reactif en ce moment, que jusqu’ici ta façon de faire a fonctionné et qu’il faut qu’ils continuent a te faire confiance, mettre en valeur ta façon de faire, taper du poing sur la table, leur donner de petites responsabilités et garder les grandes pour toi, les former pour qu’ils puissent te suivre plus facilement,t’interesser plus a leur difficultés ( les entendre) ….
          Desolée, je sèche.
          Pas vraiment bien placée pour te donner des conseils, au coin de ma solitude 😉

        2. Faire intervenir un mediateur, un coach, quelqu’un de l’exterieur, pour faire passer tes messages, remotiver les troupes, une personne qui te comprendra et saura parler a ton equipe de façon plus apaisée ( ce taf, c’est ton bebe, et parfois meme si on sait que l’on a raison dans les grandes lignes, on a du mal a faire passer le message, les « tripes » hurlent, ça noie un peu la comprehension de que l’on voudrait faire passer 😉

            1. Etre dans le vrai, hum, permet moi d’en douter 😉 j’ai juste lancé des idées comme ça, le vrai ,c’est toi qui le porte, le vrai pour toi, ton equilibre.
              Au final, tu feras le choix qui te convient le mieux, les conseils ne sont la que pour t’eclairer peut-etre ( et parfois pour etre pris a rebours, mais c’est ça aussi l’interet d’un conseil, faire le contraire est parfois la solution), tout ce que je peux te souhaiter c’est d’arriver a debroussailler la situation pour arriver a te remettre d’aplomb ( et que tu fasses des concessions ou pas, que tu modifies ta trajectoire ou pas, peu importe, le principal est que tu trouves ce qui te convient, ce qui est bon pour toi).
              Tu disais dans un post que tu cherchais la verité, perso je pense qu’elle n’existe pas, tout est fluctuant, il faut juste s’adapter , on a sa verité du moment, et puis elle peut changer demain, c’est plutot sympa a envisager, je trouve, pas de routine!!

    2. Bonjour Lost in Time, et bonjour Cécile. Je viens un peu chaque jour depuis que j’ai appris que mon angoissant moi-même était comme vous autres, ici, sur ce blog. Ton texte là, c’est si juste, ça me parle, ça ressemble beaucoup au chaos qu’est ma relation aux autres, ça me donne de l’espoir d’arriver à autant de courage et de simplicité. Chaque jour une dose d’espoir grâce à ce lieu d’échange, c’est inestimable.

  4. J’ai vu cette pièce avec ma fille l’année dernière, je bénis son option théâtre sans laquelle on ne l’aurait pas vue….
    Je reprends ta question Pouic « Et la possibilité d’entrer en amour avec les autres, est-il seulement de notre ressort??? »…
    On ne peut pas forcer les autres à nous aimer, mais on peut s’autoriser à aimer, quitte à souffrir, et ne pas s’en vouloir pour ça. J’ai toujours préféré cette option, au moins, c’est la vie qui se manifeste, espoir, bonheur, souffrance, désespoir, joie, pourquoi serions nous là sinon pour être traversés par ces émotions là? Vouloir s’affranchir de la souffrance, c’est être mort. C’est devenir un gentil zombie mort vivant (ah ce goût des américains pour les films de zombies, on se demande bien pourquoi, hein…).

    Je lis avec bonheur Christiane Singer en ce moment,( j’ai à peu près tout surligné), qui nous rappelle à quel point nous sommes formatés pour oublier cette humanité qui fait notre essence :
    « Est faux ce qui fleure la théorie. Est juste – comme en musique -ce qui soudain résonne de l’un à l’autre, se propage comme une onde vibratoire ».
    « La vie entière était sacrée jusqu’à ce qu’on m’eut persuadée au lycée que tout ce qui avait de l’importance se situait hors de moi, presque hors de portée, et qu’il me faudrait ingurgiter des tonnes de choses pour devenir « quelqu’un » un jour ».

    C’est bien par notre éducation qu’on commence par ne pas s’aimer, et on voudrait nous faire croire que le savoir puis les possessions pourront combler cette blessure initiale, de n’avoir tout simplement pas été accepté pour ce qu’on est, dans nos différences, ce qui est pourtant l’aspiration de chaque être humain. Et un jour, on est tout simplement révolté par cet affreux mensonge : on a tout bien fait, et on n’est toujours pas heureux! Non, on a juste essayé de devenir un gentil zombie…ça ne marche pas comme ça…

    1. « Est juste – comme en musique -ce qui soudain résonne de l’un à l’autre, se propage comme une onde vibratoire »; j’aime beaucoup cette phrase!!!! Vibrer, le sel de la vie!!
      Le savoir est bien utile pour debroussailler autour de soi, savoir ou l’on met les pieds, ne plus avancer a l’aveugle; mais il est vrai qu’ensuite , s’accepter tel que l’on est pour donner le meilleur de soi-meme ( en dehors des normes imposées qui rognent nos ailes) est le chemin qui me semble le plus coherent. Enfin essayer….

    2. Et quand je parlais d’une solitude necessaire pour se proteger parfois, ce n’etait pas dans le sens de se couper de ses emotions , mais plutot de s’eloigner quand on ressent les choses de façon trop intense, de ne plus tout prendre dans la figure comme avant…. Une certaine façon de diriger enfin sa vie, en quelque sorte 🙂

  5. Et la possibilité d’entrer en amour avec les autres, est-il seulement de notre ressort???
    Dans le film, on se rend compte que Charles etait plus facile a aimer lorsqu’il etait attardé , il derangeait moins ( mis a part sa mere, mais a y reflechir, c’est surtout l’amour de sa mere dont il aurait eu besoin, ou du moins essayer de reparer ce manque).
    Si certains se replient dans leur bulle, c’est parce qu’ils ne supportent plus de se faire agresser, de ne pas etre compris, et a moins de se transformer en ce que l’on est pas et donc de souffrir aussi ( mais de façon plus acceptable pour la société, il faut l’avouer), je pense que l’on peut trouver un certain equilibre ( peut-etre moins douloureux ) en composant avec la solitude.
    Sauf a trouver son environnement humain ideal, ses pairs, l’ideal!!
    Utopie, quand tu nous tient!!!!

    1. «Je me demande ce qui est le pire: ne pas savoir qui l’on est et être heureux, ou devenir qui l’on a toujours voulu être et se sentir seul»: quand on ne savait pas qui on etait, on etait seul aussi, mais on ne le savait pas. Donc la question serait plutot, est-il preferable ou pas de vivre dans l’illusion?
      Je ne sais pas, il y a des avantages et des inconvenients dans chaque situation, je m’eclatais plus dans l’illusion, mais je n’avais pas les renes de ma vie. Aujourd’hui, que je les ai en main, ces renes, je n’ai plus envie d’aller nul part, c’est malin!!
      Bon , allez, j’arrete de m’incruster sur ton blog, Cecile, et je retourne dans ma grotte 😉

  6. Je ne sais pas si les problemes de ce Charles ( au dela du fait qu’ il serait redevenu celui qu’il etait, a moins de continuer et d’augmenter les doses du produit « miracle »- et encore, sans certitude- deja ça, ca doit etre très perturbant)) sont dus a sa grande intelligence , ou plutot au fait qu’il n’a pu aller au bout de sa relation avec sa partenaire ( relations sexuelles). Son intelligence grandissante lui faisant se souvenir de sa mere et des colères de cette dernière quant a son incapacité a la satisfaire, il reportait la terreur de ces moments anciens sur sa partenaire ( « cours, jacques, cours!!! » ).
    Son problème « d’amour » ne viendrait-il pas plutot de là??
    Quelques seances chez un psy freudien ( ou lui avec quelques livres, je suis etonnée qu’il n’ai pas essayé de comprendre tout seul son blocage!) , et le problème etait reglé, il aurait satisfait sa partenaire , aurait pris confiance en lui et en sa capacité a etre « aimable ». Et ça l’aurait peut-etre un peu detendu.
    Enfin c’est ce que j’ai vu, dans la version française de 2013.

    1. Enfin, je faisais ce commentaire dans le cas d’une transposition par rapport a un surdoué, je viens d’aller voir le resumé du livre sur wiki, c’est sur que le garçon avait de gros soucis, je comprends mieux pourquoi il n’a pas eu le temps de se plonger dans freud!!! 😉

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