Gifted and bright children

The website www.douance.be is fascinating with all its resources.

For an easier access, from this site I made a copy/paste of a list which presents what makes the difference between a bright « normal » child and a gifted one. Of course, when it comes to adults, markers are a bit different. Anyhow…. (in yellow what can remain valid for adults)

Bright Learners

Knows the answers

Is interested

Is attentive

Has good ideas

Works hard

Answers the questions

Top group

Listens with interest

Learns with ease

6-8 repetitions

Understands ideas

Enjoys peers

Grasps the meaning

Completes assignments

Is receptive

Copies accurately

Enjoys school

Absorbs information

Technician

Good memorizer

Is alert

Is pleased with own learning

Enjoys straightforward, sequential presentation

Gifted Learners

Asks the questions

Is highly curious

Is mentally and physically involved

Has wild, silly ideas

Plays around, yet tests well

Discusses in detail, elaborates

Beyond the group

Shows strong feelings and opinions

Already knows

1-2 repetitions for mastery

Constructs abstractions

Prefers adults

Draws inferences

Initiates projects

Is intense

Creates a new design

Enjoys learning

Manipulates information

Inventor

Good guesser

Is keenly observant

Is highly self-critical

Thrives on complexity

by Janice Szabos “Bright vs Gifted”

Top of the class students are able and want to comply with teacher’s/school’s constraints and pace, while gifted children can be sorted in 3 types :  roughly speaking 1/3 is top class (this happens !), 1/3 dozes at the rear of the class (those sunk in boredom who are just expecting the end of the class) and the last 1/3 is a sh.. stirrer (in order to stay close to what an exhausted teacher can think of these difficult kids).

In a certain way, I wonder if this classification cannot as well apply to adults : 1/3  with a successful professional life (this happens !), 1/3 remaining under cover, bogged down into a gloomy position, 1/3 being unmanageable.

13 thoughts on “Gifted and bright children

  1. Bonsoir,

    Je ne savais pas trop ou poster ca , et en tapant le mot clé désir d’apprendre, je suis tombée sur cette page sur les enfants surdoués.

    Alors, oui, je prépare un diplôme, et bien évidemment, je me retrouve en position d’élève (!). Mais en fait, je le vis encore plus mal que quand j’etais à l’école (pas détectée à l’époque).

    Alors oui , meme adulte quand on se retrouve dans la position d’élève, on garde les memes stigmates que 30 ans en arrière.

    C’est patétique…. et on se dit que finalement on n’a pas progressé, ou bien si on voit ca positivement, on a gardé une ame d’enfant.

    Alors, isolement du groupe, méthode d’apprentissages marginales et vraiment personnelles, résultat moyens, car oui tout est dans la tete mais n’a pas été exprimé sur le papier…. tout le compliqué est bien expliqué, mais les paramètres les plus élémentaires n’ont pas été énoncés, alors que c’est ce qui était attendu.

    Alors, voilà, j’aimerai tant retrouvé ma motivation. Elle est si fragile chez moi…. j’en ai mare de travailler sans gout. Je paierais cher pour que ca change.

    Oui je fais des choses bien, mais j’ai remarqué que je ne travaille très bien que lorsque ca n’est pas spécialement remarquable : je travaille en dessous ou dans l’ombre, sur des taches qui ne sont pas clairement évaluées.

    Lorsqu’il s’agit de faire valoir ce qu’on vaut, là c’est plus dur. C’est terrible, car tu veux faire bien, et puis à tous les niveaux, tu te rends compte que tu ne fais pas ce qu’il faut.
    Il s’agirait bien d’un sabotage, mais je ne m’en rends pas compte, enfin si après quand j’ai le mauvais résultat.

    C’est pénible, j’aimerais bien remédier à ca. Comment peut on obtenir des résultats très moyens, alors qu’on a mémorisé les cours, pris des notes (peu, un résumé de ce qu’il faut savoir, qu’on ne relit jamais évidemment), quand on a scanné les documents, et qu’on ne revient pas dessus , car (prétention ?) on sait déjà après une 1e lecture ?

    Ce gros décalage me fait perdre , je pense des opportunités. D’un coté, je n’ai qu’une envie : me valorsier, et inconsciemment , je fais le contraire. C’est une évidence qui n’apparait que plus tard, quand on nous notre travail et qu’on nous fait comprendre : qu’on bosse pas (ou légèrement).

    J’aimerais bien des conseils… en existe t il d’ailleurs ? est ce que j’arriverai à les mettre en Å“uvre ?

    Et puis, me remotiver (là je sèche….) : comment avoir à nouveau envie d’apprendre.

    oui bon j’ai 41 ans, mais visiblement, je n’ai pas beaucoup avancé sur le plan de l’apprentissage (ca c’est pour faire rire…). Je dois etre encore bien jeune dans ma tete.

    Enfin, vaut mieux ca que d’etre aigri par la vie non ?

    Cricri (qui se faisait appeler comme ca au collège)

    1. D’abord un témoignage sur les classements en tiers, que je trouve extrêmement pertinent: avant d’être diagnostiqué, à plus de 50 ans, j’étais un enfant du second tiers et j’étais bien devenu un adulte du second tiers aussi. Depuis que je sais, j’ai réorganisé ma vie pour faire ce dont j’ai envie, tout simplement. Bien sûr, je suis obligé de composer avec cette société, et prendre ma liberté se paye au prix de quelques sacrifices. Mais au moins, j’ai l’impression de recommencer à vivre, là où avant, je ne faisais plus que regarder ma vie passer. Il me faut encore une petite année pour savoir si je vais passer dans le 1er tiers, celui de ceux qui réussissent.

      @cybercricri:
      Tu exprimes un besoin de reconnaissance de la part des autres, mais j’ai l’impression que c’est de toi-même dont tu n’es pas satisfait. Est ce que tu ne te trompes pas dans le choix de ce que tu es en train de faire?
      Je ne comprends pas ta question “comment avoir à nouveau envie d’apprendre?”. Si tu n’as pas naturellement envie d’apprendre ce que tu es en train de faire, je dirais que tu n’es pas sur le bon chemin. Change de chemin et va là où tu as envie. Si l’objet de ton envie est ce que tu pourras faire avec le diplôme, alors ce chemin d’école fait partie de ce que j’appelle “composition avec la société et sacrifices”, et tu devras payer ce prix. C’est un effort qu’on peut faire quand on a les compensations par ailleurs.

      1. Bonsoir,

        En fait, ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi je suis aussi obsédée par les notes ?

        J’ai besoin d’être à une échelle, une évaluation précise, c’est idiot mais à un point près, je me dis que le prof est vraiment vache, qu’il me juge sur moi-même, pas mon travail, que je suis une mauvaise fille avec un sale caractère (d’où ca peut venir ?).

        En fait, je me dis : ce devoir vaut telle note à peu près, et quand c’est un peu en dessous, je ne m’y retrouve pas et suis inmanquablement décue.

        Cricri

        1. Alors là, je sèche…
          La note peut être une reconnaissance. Donc, même un point en dessous, ça peut signifier que le travail n’est pas reconnu.
          Pourquoi le besoin de reconnaissance? Je l’explique en disant que c’est pour exister. On ne peux exister que si quelqu’un nous voit et nous le dit.

          1. Même si nul parent n’est parfait, il n’est pas pour autant l’alpha et l’omega des troubles d’un enfant.
            Je verrais plutôt chez cricri la marque d’un traumatisme scolaire qu’elle peut avoir oublié, mais qui est resté engrammé

            Sur le sujet de l’engramme, ici un récent article édité le 14 janvier 2015 dans Nature en ligne qui présente les relations très complexes qui existent entre l’amygdale (cerveau limbique / siège des émotions) et les comportements
            L’une des références est celle-ci :
            Han, J.-H. et al. Selective erasure of a fear memory (Effacement sélectif d’un souvenir relatif à la peur – NdT). Science 323, 1492–1496 (2009). qui fait elle-même référence à d’autres études sur le sujet de l’engramme.
            This study provided causal evidence for a stable fear memory engram in the LA by ablating a small proportion of LA neurons overexpressing CREB.

  2. Bon article!!!
    De tout temps, j’ai eu un pieds dans chacun des deux derniers tiers… pas vraiment l’idéeal!!! 😉

  3. J’ignore si l’école que j’ai fondée en 1995 en Belgique (Schola Nova) peut donner des réponses satisfaisantes, mais vu que beaucoup d’enfants précoces y ont magnifiquement fleuri, peut-être pourrez-vous y puiser quelques idées… Bonne chance!

    1. Bonjour

      Merci de votre passage.
      Schola Nova est un très beau projet (http://www.scholanova.be/index.html)
      Une question cependant : l’accès aux études.
      Etes vous en contact avec des mécènes qui pourraient financer les enfants dont les parents n’ont pas les ressources suffisantes ?
      Car être surdoué en milieu matériellement défavorisé est souvent une double peine.

    2. Merci de ces notions différentielles . Mais j’ai bien ri … parce que je peux vous confirmer que ça ne passe pas avec l’âge !

  4. J’ai trouvé ceci qui donne un éclairage intéressant :

    [Yes, it’s satirical… and correlation != causation… Still!]

    FAT, happy children who eat pizza do not waste their time asking a series of annoying, smart-arse questions, researchers have discovered.
    The Institute for Studies found that children who consume a healthy diet of fatty, processed food are quieter and more co-operative than the mouthy, jumped-up little shits who want to know exactly where their broccoli came from.

    Researchers studied 1200 children across the UK and found that the fat children would finish their plate of chicken drumshapes and go and sit quietly in front of the television while children who ate cabbage would follow their parents around all day with a list of tedious questions about politics and the environment.

    Professor Henry Brubaker said: “We found that the fat children and everyone who came into contact with them were up to 95% happier.

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